Plateformes de seconde main : restaurer la confiance grâce à l’identité numérique

Face à la montée des arnaques et à la complexité des vérifications, les plateformes de seconde main cherchent à sécuriser les échanges entre particuliers.

En intégrant un wallet d’identité numérique, elles peuvent garantir l’authenticité des profils, fluidifier les parcours KYC et ouvrir la voie à des transactions transfrontalières.

Une réponse concrète aux attentes des utilisateurs… Et aux ambitions du marché. 

Le marché de la seconde main connaît une croissance rapide (+20% par an en France), portée par des motivations écologiques et économiques. Mais cette dynamique est freinée par : 

  • Des fraudes fréquentes (usurpation, ventes fictives, faux profils...) ; 

  • Des parcours d’inscription contraignants (CNI, IBAN à fournir dès la création d’annonce...) ; 

  • Une défiance croissante des utilisateurs. 

Aujourd’hui, jusqu’à 70% des utilisateurs abandonnent leur inscription lorsqu’ils doivent fournir des justificatifs sensibles. Et les plateformes peinent à concilier fluidité d’usage et sécurité. 

Les bénéfices

Intégrer une solution de wallet d’identité numérique comme TrustMe permet dans ce cas précis : 

  • Une confiance renforcée entre acheteurs et vendeurs ; 

  • L’ouverture au marché européen : transactions transfrontalières facilitées. 

 

 

Comment déployer la solution ? 

Les plateformes peuvent intégrer TrustMe dans leur parcours : 

  1. KYC intégré : l’utilisateur partage ses données (identité, IBAN, justificatif de domicile) via le wallet, sans ressaisie ; 

  1. Attestations numériques vérifiables : les informations sont à jour, authentifiées et traçables ; 

  1. Authentification forte : preuve de vie et biométrie pour sécuriser les transactions ; 

  1. Interopérabilité européenne : un utilisateur français peut acheter sur une plateforme allemande avec le même niveau de sécurité. 

Quels résultats attendre ? 

  • Jusqu’à 70% de réduction des abandons à l’inscription ; 

  • Une diminution significative des litiges liés à l’identité ou au paiement ; 

  • Un accès à un marché transfrontalier élargi ; 

  • Une adoption facilitée par les utilisateurs grâce à une UX fluide et unifiée.