L’IA, bien plus qu’un outil : une question de souveraineté

Alors que les modèles d’intelligence artificielle se généralisent dans tous les secteurs, une question devient centrale : peut-on innover sans perdre le contrôle ? Dans sa tribune, Camille Thébault défend une vision exigeante de l’IA, fondée sur la maîtrise des données avant la performance des algorithmes.

Chez Luminess, cette approche se traduit par des choix concrets : hébergement souverain (SecNumCloud), modèles open source, gouvernance documentaire rigoureuse, conformité RGPD et IA Act. L’objectif : garantir un contrôle total sur les données sensibles, en particulier dans les secteurs publics et régaliens.

 

Une architecture pensée pour la confiance

L’originalité de la démarche repose sur une conviction forte : la souveraineté ne se limite pas à l’origine des modèles, elle concerne toute la chaîne de valeur. Où sont stockées les données ? Qui peut y accéder ? Comment sont-elles utilisées ? Autant de questions auxquelles Luminess répond par une architecture modulaire, traçable et transparente.

Cette maturité technologique permet à l’entreprise d’aborder l’IA avec un cadre clair : celui de la responsabilité numérique. Une posture qui s’inscrit dans une logique d’intérêt général, au service des institutions et des citoyens.

 

Une tribune à lire pour repenser l’IA autrement

Dans un contexte où l’IA est souvent réduite à ses performances spectaculaires, cette tribune propose un changement de perspective. Elle invite à considérer l’IA comme une infrastructure critique, au même titre que l’énergie ou les télécommunications, et à en tirer toutes les conséquences en matière de souveraineté, de sécurité et de gouvernance.

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